© Xavier Vavasseur - Naval news. |
La ministre des armées, Florence Parly, a visité le centre d'expertise
des radars militaires de Thales à Limours où elle a pu y découvrir le
premier panneau fabriqué du tout premier radar française à faces planes dont la construction avait débuté en mai 2018. Ce
matériel partira la semaine prochaine pour la presqu'île de Saint-Mandrier où se situe le
Site d’Expérimentations de Systèmes de Défense Aérienne (SESDA) où sont
situés les plates-formes d’intégration à terre des systèmes de combat
naval (le quatrième SMART-S Mk 2...) et des moyens d’évaluation de performances radar et guerre
électronique. Le radar Herakles avait bénéficié de quatre années d'essais dans ce centre, le Sea Fire 500 se dirige vers un calendrier pratiquement identique (2019 - 2023 ?). Le premier radar devant devenir opérationnel sera livré à Lorient fin 2020. Quelques données opérationnelles quant à ce programme ont été annoncées. Par comparaison avec son nouvel équivalent américain - l'AN/SPY-6 - et par l'un des projets de la société à participations croisées de Fincantieri et Naval group : l'avènement de la défense aérienne de la flotte à l'ère hypersonique est acté.