© Divulgadores del Misterio. « Acorazados De La Segunda Guerra Mundial por Manuel González López », Divulgadores del Misterio, 4 février 2020. |
Hola y gracias por responder estas pocas preguntas. ¿Podría decirnos de dónde surgió la idea de ofrecer este estudio técnico?
Manuel Pedro González López : Es un tema que llevaba madurando muchos años. Soy aficionado a los buques de guerra desde niño y en especial a los acorazados. Con el tiempo he acumulado bastantes libros sobre el tema. Así que detecté la falta de un libro, que diera una explicación integral y fácilmente comprensible de los acorazados post-Washington (ese era el título original). Hay excelentes textos, pero o son de una clase concreta o dan demasiadas cosas por sabidas o son meras guías poco detalladas.
Por supuesto, en español hay poquísimo publicado lo que abría todavía más las posibilidades de publicación.
C'est un sujet qui a mûri pendant de nombreuses années. J'adore les navires de guerre depuis que je suis enfant et surtout les cuirassés. Au fil du temps, j'ai accumulé pas mal de livres sur le sujet. J'ai donc détecté le manque d'un livre, qui fournirait une explication complète et facilement compréhensible des cuirassés post-Washington (c'était le titre original). Il existe d'excellents textes, mais soit ils appartiennent à une classe spécifique, soit ils tiennent trop pour acquis ou ils ne sont que de petits guides détaillés.
Bien sûr, en espagnol, il y a très peu de publications, ce qui a ouvert davantage les possibilités de publication.
MdS : Cela fait-il longtemps que vous travaillez le sujet ?
¿Has estado trabajando en el tema durante mucho tiempo?
Manuel P. González López : Unos cinco años. No soy profesional y mi trabajo es un sector completamente distinto, así que solo disponía de mi tiempo libre.
Inicialmente empecé publicando capítulos del libro en un foro. Eso me permitió modificar el enfoque del libro en función de las respuestas de los usuarios. Desde el principio quería que el libro fuera accesible a personas sin conocimientos previos y a la vez que alguien que ya conociera el tema lo disfrutara.
Los dibujos proporcionalmente me han supuesto un mayor
esfuerzo que el texto. Por otro lado, siendo mi primer libro inicialmente perdí
tiempo por una organización incorrecta del trabajo.
Environ cinq ans. Je ne suis pas un professionnel et mon travail appartient à un secteur complètement différent, donc je n'ai eu que mon temps libre.
Au début, j'ai commencé à publier des chapitres du livre sur un forum. Cela m'a permis de modifier le focus du livre en fonction des réponses des forumeurs. Dès le début, je voulais que le livre soit accessible à des personnes sans connaissance préalable et en même temps que quelqu'un qui connaissait déjà le sujet l'apprécie.
Les dessins ont été proportionnellement plus d'efforts que le texte. D'un autre côté, étant mon premier livre, j'ai d'abord perdu du temps à cause d'une mauvaise organisation du travail.
MdS : Pourquoi avoir retenu le Richelieu pour illustrer l’ouvrage ? Vous nous faite un honneur qui est plutôt rare en la matière.
¿Por qué elegiste el Richelieu para ilustrar el trabajo? Nos haces un honor que es bastante raro en el asunto.
Manuel P. González López : En general todos los acorazados post-Washington son estéticamente muy atractivos. El Richelieu tiene un aspecto particular. que me resultaba interesante desde siempre. Además construí un modelo scracht a 1/700 (antes del modelo comercial actual).
La foto en concreto, es en mi opinión una de las mejores y espectaculares del periodo (y de muy buena calidad, en luz, grano y contraste). Desde el principio, planifiqué usarla como portada si encontraba los derechos de autor. Afortunadamente, Roger Torgeson la encontró en los National Archives de Washington, y me permitió utilizarla
Al editor le pareció también una foto muy atractiva y la aceptó encantado.
En général, tous les cuirassés post-Washington sont esthétiquement très attrayants. Le Richelieu a un aspect particulier. ce qui a toujours été intéressant pour moi. J'ai également construit un modèle au scracht 1/700 (avant le modèle commercial actuel).
La photographie, en particulier, est à mon avis l'une des meilleures et spectaculaires de la période (et de très bonne qualité, en lumière, grain et contraste). Dès le début, j'avais prévu de l'utiliser comme couverture si je trouvais le copyright. Heureusement, Roger Torgeson l'a trouvé aux Archives nationales de Washington et m'a permis de l'utiliser.
L'éditeur a également trouvé une photo très attrayante et l'a acceptée avec plaisir.
Mds : Pour les photographies de croiseurs de combat et cuirassés français vous avez requis l'aide de Wilfried Langry, comment vous est venue l'idée de faire appel à lui ?
Para las fotografías de cruceros de combate y acorazados franceses que solicitó la ayuda de Wilfrid Langry, ¿cómo se le ocurrió la idea de llamarlo?
Manuel P. González López : Los archivos europeos tienen precios elevados de derechos de autor (inasumibles en una edición modesta). Así que busqué en Internet fotos libres de derechos o de particulares. Así encontré el blog Marine1939 de Wilfried Langry y me puse en contacto con él. Wilfried fue muy amable en cederme las fotos y además me sugirió algunos cambios en mi diseño del Dunkerque.
Les archives européennes ont des prix de copyright élevés (inabordables pour une modeste édition). J'ai donc cherché sur Internet des photographies libres de droits ou privées. J'ai donc trouvé le blog de Wilfried Langry, blog Marine1939, et je l'ai contacté. Wilfried a été très gentil de me donner les photographies et il a également suggéré quelques changements à mon dessin de Dunkerque.
MdS : comment avez-vous constitué ce fonds d'archives ?
¿cómo configuraste este fondo de archivo?
Wilfried Langry : Al principio, fue mi pasión por los militares en general y la Armada en particular lo que me permitió iniciar esta colección que se ha enriquecido año tras año. Comencé leyendo revistas marítimas durante mi adolescencia, y luego comprando monografías sobre la Armada francesa. Con el paso del tiempo, mi biblioteca creció con libros de referencia, muchos de los cuales ya no se podían obtener. Muy rápidamente, para ilustrar mis escritos, se hizo evidente que necesitaba fotografías inéditas. Fue el comienzo de una nueva colección que me permite hoy ayudar a autores como Manuel P. González López. Con los años, este fondo fotográfico ha crecido con imágenes que se han encontrado principalmente en Internet. Muchas de estas son fotografías de individuos o marineros que han conservado un testimonio de esta época. También tengo una gran cantidad de fotografías de origen alemán para el período de la Segunda Guerra Mundial. Gracias a la documentación que he podido acumular, trato de identificar estas fotos y fecharlas, lo que a veces es bastante difícil.
Au départ, c’est ma passion pour la chose militaire en général et la Marine en particulier qui m’a permis d’initier cette collection qui s’est enrichie d’année en année. J’ai commencé par la lecture de magazines maritimes pendant mon adolescence puis par l’achat de monographies sur la Marine française. Au fur et à mesure, ma bibliothèque a pris de l’ampleur avec des ouvrages de référence pour beaucoup déjà introuvables. Très vite, pour illustrer mes écrits, il est devenu évident qu’il me fallait des photographies inédites. Ce fût le début d’une nouvelle collection qui me permet aujourd’hui d’aider des auteurs comme Manuel P. González López. Les années passant, ce fond photographique s’étoffe avec des clichés chinés essentiellement sur internet. Il s’agit, pour beaucoup, de photographies de particuliers ou de marins qui ont conservé un témoignage de cette époque. J’ai également un nombre important de photographies d’origine allemande pour la période de la Seconde Guerre Mondiale. Grâce à la documentation que j’ai pu accumuler, j’essaye au maximum d’identifier ces photos et de les dater, ce qui est parfois assez difficile !
MdS : Votre étude technique est très fine au sujet de la protection, de l'armement et de la vitesse et des conduites de tir. En travaillant votre sujet, auriez-vous fait des observations ou tiré des conclusions auxquelles vous ne vous attendiez pas ?
Su estudio técnico es muy bueno en materia de protección, armamento y velocidad y líneas de fuego. Al trabajar en su tema, ¿habría hecho alguna observación o sacado conclusiones que no esperaba?
Manuel P. González López : Si por supuesto, al hacer un estudio general la visión es mucho más precisa. La influencia de los tratados y la situación política permite comprender las razones de los diseñadores y los políticos al tomar sus decisiones que antes me parecían en ocasiones caprichosas o contradictorias.
Uno de los objetivos del libro era este, hacer
comprensibles las decisiones. Y por supuesto ahora tengo las ideas mucho más
claras. Por ejemplo, la lógica que condicionó las características de los Dunkerque
y los Scharnhorst (buques por debajo de los tratados) se explica por la
situación político-legal. Aisladamente me parecían buques absurdos. Y algo
parecido con el resto. Colocadas en el contexto temporal las elecciones de los
diseñadores cobran todo el sentido.
Oui, bien sûr, lors d'une étude générale, la vision est beaucoup plus précise. L'influence des traités et la situation politique nous permettent de comprendre les raisons des concepteurs et des politiciens lors de la prise de décisions qui auparavant semblaient parfois fantaisistes ou contradictoires.
L'un des objectifs du livre était le suivant: rendre les décisions compréhensibles. Et bien sûr, maintenant j'ai des idées beaucoup plus claires. Par exemple, la logique qui a conditionné les caractéristiques des Dunkerque et Scharnhorst (bâtoùe,ts au-dessous des traités) s'explique par la situation politico-juridique. Isolément, ils me semblaient des navires absurdes. Et quelque chose de similaire avec le reste.
Placés dans le contexte temporel, les choix des concepteurs prennent tout leur sens.
MdS : Malgré votre qualité de citoyen espagnol, vous avez fait le choix de ne pas aborder le cas de l'Armada Española. Pourriez-vous nous dire en quelques mots ce qu'étaient ses projets (1921 - 1945) en matière de croiseurs de bataille et cuirassés ?
A pesar de su condición de ciudadano español, ha optado por no abordar el caso de la Armada Española. ¿Podría decirnos en pocas palabras cuáles fueron sus planes (1921 - 1945) en términos de cruceros de batalla y acorazados?
Manuel P. González López : Desde el primer momento me tuve que marcar un espacio temporal limitado. Abordar con la misma intensidad todos los acorazados desde el Dreadnought me hubiera supuesto un esfuerzo y una extensión por encima de mis posibilidades. Por el contrario, ajustarme a un libro manejable (como el mío) hubiera supuesto una mera guía.
Por ello, me auto limité a los últimos acorazados, excluyendo incluso los proyectos (muy interesantes por otra parte). Esta elección dejaba fuera a España, que no paso de la fase preliminar de diseño en este periodo histórico.
En cuanto a la Armada Española, esta solo tuvo una serie tres dreadnought, la clase España, iniciada antes de la primera guerra mundial. La conflagración, mató de raíz, el proyecto apenas esbozado de una serie de super-dreadnought.
Al terminar la guerra, los super-dreadnought estaban superados y cualquier proyecto debía iniciar de cero. Se ha especulado sobre versiones reducidas de los Nelson, pero lo cierto es que no hubo un requerimiento de estudios sobre acorazados. La construcción naval española estaba monopolizada por la SECN (Sociedad Española de Construcción Naval) de capital fundamentalmente británico (John Brown & Company y Vickers-Armstrong). La SECN no se consideraba capacitada para abordar la construcción de acorazados en España y convenció a la Armada que era necesario el paso intermedio de los Cruceros Washington.
Estos fueron la clase Canarias, una versión mejorada de los County británicos. Iniciados en 1928 su construcción se ralentizó tras la proclamación de la república en 1931 y no entrarían en servicio hasta 1936 con la Guerra Civil ya iniciada. Los gobiernos republicanos, mostraron poco interés por la Marina, tanto más cuando consideraban a los mandos demasiado afines a la monarquía (aunque se mantuvieron neutrales en el cambio de régimen), quedando aparcado, cualquier posibilidad de construir acorazados.
Hay que indicar, que la Armada era contraria a los cruceros pesados tipo Washington y preferían cruceros ligeros, « supercruceros » (un tipo intermedio entre el crucero pesado y el crucero de batalla) o directamente buques de línea. Pero la SECN se impuso alegando cuestiones técnicas como hemos dicho. Paradójicamente los dos cruceros Canarias serían decisivos en la Guerra Civil bajo el mando de algunos de sus mayores oponentes.
Tras la guerra, el
gobierno de Franco concibió una Armada que pondría a España en un nivel de
influencia internacional. El proyecto que se apoyaba en cuatro 35.000 tons, era
ciertamente fantasioso dada la situación económica de España. Aunque los astilleros
habían sido poco dañados en la guerra y la SECN fue nacionalizada, era evidente
que incluso disponiendo de los recursos económicos (lo que no era el caso) se
necesitaba el apoyo externo. Las miradas se dirigieron a Alemania e Italia, la
segunda se mostró mucho más colaborativa y ofreció los planos del Roma
como modelo para los futuros acorazados españoles.
Al parecer se entregaron algunos planos del Roma, pero no han quedado trazas en los archivos. Si hay bastante información de los « supercruceros » propuestos por la Ansaldo y la SECN. En cualquier caso, el estallido de la Segunda Guerra Mundial redujo los esfuerzos a como máximo algunos destructores, proyectados con ayuda alemana (y algunos planos franceses) pero que solo entrarían en servicio bastantes años después del conflicto. Todavía en 1945 se soñaban en acorazados (y portaaviones) pero dada la situación nacional e internacional eran solo sueños.
Dès le premier moment, il m'a fallu arrêter un temps
limité. S’intéresser avec la même attention à tous les cuirassés existants depuis
le Dreadnought aurait exigé un effort et un champs de recherche
au-delà de mes possibilités. Au contraire, j'ai voulu m'en tenir à un livre à
portée de mes efforts (comme le mien) devant être un simple guide.
Je me suis donc limité aux derniers cuirassés, excluant même les projets (même si très intéressant, par contre). Ce choix a exclu l'Espagne, qui n'a pas franchi la phase de conception préliminaire dans cette période historique.
Quant à la Armada española, elle n'avait qu'une seule série de trois dreadnought, la classe España, commencée avant la Première Guerre mondiale. La conflagration, a tué dans l'œuf, le projet à peine esquissé d'une série de super-dreadnought.
À la fin de la guerre, le super-dreadnought était dépassé et tout projet devait repartir de zéro. Il y a eu des spéculations sur les versions réduites des Nelson, mais la vérité est qu'il n'y avait aucune exigence d'études sur les cuirassés. La construction navale espagnole a été monopolisée par la SECN (Sociedad Española de Construcción Naval) à capitaux principalement britanniques (John Brown & Company et Vickers-Armstrong). La SECN ne s'estimait pas capable de s'occuper de la construction de cuirassés en Espagne et a convaincu la Armada qu’il fallait en passer par l'étape intermédiaire qu’était les croiseurs Washington.
Il s'agira de la classe Canarias, une version améliorée des County britanniques. Initiée en 1928, sa construction ralentit après la proclamation de la République en 1931 et ils n'entreront en service qu'en 1936 avec la guerre civile déjà en cours. Les gouvernements républicains ont montré peu d'intérêt pour la Marine, d'autant plus qu'ils considéraient les commandants trop proches de la monarchie (bien qu'ils soient restés neutres dans le changement de régime), laissant toute possibilité de construire des cuirassés de station.
Il convient de noter que l'Armada était opposée aux croiseurs lourds de type Washington et aux croiseurs légers, préférant les « supercruceros » (un type intermédiaire entre le croiseur lourd et le croiseur de bataille) ou directement aux navires. Mais la SECN a prévalu en alléguant des questions techniques comme nous l'avons dit. Paradoxalement, les deux croiseurs Canarias seraient décisifs dans la guerre civile sous le commandement de certains de leurs plus grands adversaires.
Après la guerre, le gouvernement franquiste a conçu une marine qui placerait l'Espagne à un niveau d'influence internationale. Le projet, qui reposait sur quatre 35 000 tonnes, était certainement fantastique compte tenu de la situation économique en Espagne. Bien que les chantiers navals aient été peu endommagés pendant la guerre et que le SECN ait été nationalisé, il était clair que même avec les ressources financières (ce qui n'était pas le cas), un soutien extérieur était nécessaire. Les regards se tournèrent vers l'Allemagne et l'Italie, le second était beaucoup plus collaboratif et proposait les plans du Roma comme modèle pour les futurs cuirassés espagnols.
Apparemment, certains plans du Roma ont été livrés, mais il n'y en a aucune trace dans les archives. S'il y a suffisamment d'informations sur les « supercruceros » proposés par Ansaldo et la SECN. En tout cas, le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale a réduit les efforts à tout au plus certains destroyers, projetés avec l'aide allemande (et certains plans français*) mais qui n'entreraient en service que plusieurs années après le conflit. Toujours en 1945, ils rêvaient de cuirassés (et de porte-avions), mais étant donné la situation nationale et internationale, ce n'étaient que des rêves.
Wilfried Langry : Planes franceses *
que conducirán a la clase Audaz construida a partir de los planos de los
torpederos ligeros franceses Le Fier. El casco y las
superestructuras son idénticos y el diseño del armamento está inspirado en las
construcciones alemanas.
Plans français* qui conduiront à la classe Audaz construite à partir des plans des torpilleurs légers Le Fier français. La coque et les superstructures sont identiques et la disposition de l’armement inspirée des constructions allemandes.
MdS : Après ce premier et très bel ouvrage,
auriez-vous d'autres projets similaires à proposer dans le futur ?
Después de este primer y muy hermoso trabajo, ¿tendría otros proyectos similares para proponer en el futuro?
Manuel P. González López : Actualmente, todavía estoy trabajando en expandir mis diseños de acorazados, para tener al menos dos por clase. Recientemente terminé el Jean Bart en la configuración de 1955. Estoy haciendo estos dibujos con la idea de una segunda edición en español o en otro idioma si es posible.
Paralelamente, estoy trabajando en un libro sobre portaaviones de ataque con un enfoque similar. Como en el caso de los acorazados, debo limitarme y excluir los portaaviones de escolta y los proyectos que no se ponen en servicio.
Una de las nuevas características en comparación con el estudio anterior es proporcionar una mejor visión general de las tácticas y centrar las historias operativas en las operaciones en lugar de las historias individuales.
Actuellement, je travaille toujours à étendre mes conceptions de cuirassés, pour en avoir au moins deux par classe. J'ai récemment terminé le Jean Bart dans l'installation de 1955. Je fais ces dessins avec l'idée d'une deuxième édition en espagnol ou dans une autre langue si possible.
En parallèle, je travaille sur un livre sur les porte-avions d'attaque avec une approche similaire. Comme pour les cuirassés, je dois limiter et exclure les porte-avions d'escorte et les projets qui ne sont pas mis en service.
L'une des nouvelles fonctionnalités par rapport à l'étude précédente est de fournir un meilleur aperçu des tactiques et de concentrer les histoires opérationnelles sur les opérations plutôt que sur les histoires individuelles.
Gracias por esta larga y rica entrevista, especialmente estas hermosas digresiones. Le deseamos buena suerte y esperamos intercambiar nuevamente cuando publiquemos, esperamos, que su futuro funcione. Nuevamente, esta es una gran guía para los acorazados de la Segunda Guerra Mundial.
Merci pour ce long et riche entretien, notamment ces belles digressions. Nous vous souhaitons bonne continuation, en espérant échanger à nouveau à l’occasion de la parution – on l’espère - de vos futurs ouvrages. Encore une fois, c’est un très beau guide au sujet des cuirassés de la Deuxième Guerre mondiale.
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