Les @mers du CESM


Les @mers du CESM - 19 avril 1944 :

Le cuirassé Richelieu participe au bombardement de Sabang, base japonaise en Indonésie. Le navire français, ayant rejoint l’Eastern Fleet commandée par l’amiral britannique Somerville, prendra part à trois autres opérations visant des bases navales ennemies. Après 52 mois passés en mer, le bâtiment rentre à Toulon le 1er octobre 1944. À nouveau déployé en Asie du Sud-Est l’année suivante, le bâtiment assistera à la capitulation du Japon dans la rade de Singapour le 23 septembre 1945.





01 mai 2022

Marine nationale : chantier de la VSP n°1 𝘖𝘱𝘩𝘳𝘺𝘴 (2021 - 2022)

© Ouest France (« Mise à l’eau de la vedette de soutien à la plongée Y 6040 Ophrys », Ouest France, 12 avril 2022).

     La Marine de débuter le renouvellement et la modernisation des embarcations et bâtiments de sa composante de guerre des mines - dont le programme le plus emblématique est le Système de Lutte Anti-Mines Marines Futur (SLAM-F) - par le programme VSP (Vedette de Soutien à la Plongée). Ce dernier complète SLAM-F et doit permettre le renouvellement des capacités opérationnelles de lutte contre les mines et les obstacles sous-marines entre 0 et 100 mètres de fond tandis que SLAM-F verra les plongeurs-démineurs intervenir jusqu'à 300 mètres de fond et même 6 000 mètres depuis l'extension de leurs missions par la présentation, le 14 février 2022, de la Stratégie ministérielle de maîtrise des fonds marines.

Plus précisément, les futures VSP sont appelées à accomplir trois missions différentes :

  • recherche et intervention sur les mines, jusqu'à 60 mètres de fond avec des plongeurs-démineurs ; 
  • recherche jusqu'à 100 mètres de profondeur, avec l'aide d'un sonar remorqué ; 
  • formation, de soutien aux travaux sous-marins et d'intervention sur les coques de bâtiments.

     Le programme VSP est dénommé publiquement ainsi depuis la publication de l'avis de marché public du 20 décembre 2018, afin de pourvoir au remplacement de l'ensemble Vedettes Supports de Plongeurs (VSP), c'est-à-dire et plus précisément : les Vedette d’Intervention Plongeurs Démineurs (VIPD) du type Dionée (9) - dont la Vedette d'Instruction à la Plongée (VIP) Myosotis... ainsi que celles des types Stenella (2) et Girelle (1) ? Ces vedettes servent au profit des trois Groupes de Plongeurs Démineurs (GPD) – Manche (Cherbourg, BBPD Vulcain), Atlantique (Brest, BBPD Styx) et Méditerranée (Toulon, BBPD Pluton).

     Le changement de dénomination est loin d'être anecdotique car les futures vedettes ne soutiennent plus seulement des plongeurs-démineurs mais la plongée : ce qui s'explique par l'une des caractéristiques du cahier des charges exigeant que les futures vedettes puissent assurer le soutien... de scaphandriers.

     À titre indicatif, les spécifications demandées au cahier des charges avaient bénéficié, pour certaines d'entre-elles, d'une publication publique par l'avis de marché :

Il s'agissait de développer, réaliser des Vedettes de Soutien à la Plongée (VSP) et les prestations associées (incluant notamment les rechanges, la documentation et la formation) au des Plongeurs-Démineurs (Marine nationale).

De nombreuses missions se faisant à proximité de mines sous-marines, la signature électromagnétique des VSP sera réduite en utilisant pour sa coque, ses superstructures et ses principaux équipements de pont, des matériaux « amagnétiques » (composite ou aluminium).

Les futures vedettes étaient indiquées comme devant être d'une longueur de référence (division 222 des Affaires Maritimes) inférieure à 24 mètres, atteindre la vitesse minimale de 13 nœuds et mises en œuvre à partir des bases navales en métropole pour des missions de l'ordre d'une journée à une semaine maximum. Il était demandé qu'elles puissent être projetées par la capacité à réaliser des traversées en 2ème catégorie de navigation et d'être embarquées sur cargo.

Le profil d'emploi des VSP sera du type : une phase de transit (à vitesse maximale pendant plusieurs heures), et une phase d'exploitation à très faibles vitesses (de l'ordre de 6 heures à 2 nœuds), les VSP disposeront d'une propulsion optimisant la consommation d'énergie et préservant le matériel dans la durée.

Les VSP seront équipées et armées pour un équipage d'environ 6 membres. Elles embarqueront en outre, en fonction des missions, 16 à 30 personnes supplémentaires (« personnel spécial »). Elles mettront en œuvre des plongeurs, des sonars et d'autres équipements, et disposeront d'un caisson de recompression intégré à la plateforme.

 

Vedettes Supports de Plongeurs (VSP) 

Vedettes de Soutien à la Plongée (VSP) 

Type Stenella 

Type Girelle 

Type Dionée 

Appel d’offres 

VSP 

 

 

 

 

 

 

Stenella (1958 ?) 


Pastenague (1958 ?) 

 

 

 

 

 

 


Girelle (19XX) 

 

Vedettes d'instruction pour plongeurs 

 

Dionée (1990) 

Myosotis (1991) 

 

Vedettes d'intervention pour plongeurs-démineurs  

Gardenia (1992) 

Liseron (1992) 

Genêt (1995) 

Magnolia (1996) 

Ajonc (1996) 

Giroflée (1996) 

Acanthe (1996) 

 

20 décembre 2018 

 

Développement et fourniture de Vedettes de Soutien à la Plongée (VSP) destinées aux plongeurs-démineurs de la Marine nationale et réalisation de prestations associées. 

 

 

Une ou plusieurs tranche(s) optionnelles 

 

 

 

 

 

VSP n°1

VSP n°2 

VSP n°3 

VSP n°4 

VSP n°5 

VSP n°6 

VSP n°7 

VSP n°8  

 

Caractéristiques nautiques  

Longueur (mètres) 

13,52 

13,75 

21,7 

24  < 

26,50 HT
25,15 / 25,50 (flottaison)

Maître-bau (mètres) 

4,20 

4,14 

4,90 

7,00

Tirant d’eau (mètres) 

1,10 

1,20 

1,60 

1,43

Déplacement : 

- lège 

- pleine charge



 9 t

 

13 t ? 

15 t

 

35 t

49 t

 

 

75,4 t ?
87 t

Vitesse (nœuds) 

13 

Max : 13 (minimale) 

Max : 13 (minimale) 

Économique : 1 à 2 

Propulsion (CV) 

110 

110 

530 sur 3 LA 

1204,6

 

Moteurs diesel (CV) 

 

110 

 

110 

Baudouin 

12 F 11 M 

ou 

V 6 TI 330 

2 x 443 kW

Moteur électrique 

6 kW 

2 x 23 kW

Autonomie (mn) 

500 à 12 nœuds 

1 semaine 

250

Equipage 

3 + ? 

3 + ? 

4 + 12 plongeurs 

6 + 16 à 30 pax 

6 marins
16 à 30 plongeurs 

Caractéristiques opérationnelles 

 

 

 

Radar 

 

 

 

 

 

 

Racal-Decca RD170 

(Y790 - Y791) 

 Racal-Decca C180 

(Y792 - Y796) 

 

 

 

 

 

 

Oui ? 

 

Sonar 

 

 

Sonar 

Remorqué 

Klein 

Oui 

Oui 
(drones, remorqué)

Projection 

Enradiable, cargo ? 

Radier, cargo ? 

Radier, cargo ? 

Cargo 

Oui
(cargo)

Soutien à la plongée 

    / 

    / 

 

 

 

 

Caisson de décompression biplace 

 

 

 

Caisson de recompression intégré à la plateforme 

Caisson hyperbare de recompression 

 

Circuit air respirable 

 

Potence pour scaphandrier autonome (200 kg)
 

Drome et matériels 

  / 

  / 

 

 

 Autres équipements 

Dispositif de mise à l’eau d’une embarcation semi-rigide, de drones et de scaphandriers

Artillerie secondaire 

3 x 7,62 mm sur affût 


     Le programme VSP débutait par la procédure par appel d'offres dont le premier jalon public fut la publication de l'avis de marché du 20 décembre 2018, pour un terme arrêté au 31 janvier 2019. Les mois suivants concernaient probablement les discussions entretenues avec les soumissionnaires retenues afin d'étudier leurs propositions et à l'acheteur public d'essayer de les rapprocher le plus finement possible du besoin militaire exprimé par le cahier des charges et des premiers retours des opérationnels intégrés à l'équipe d'évaluation des offres.

     La proclamation du vainqueur de l'appel d'offres était annoncée quand la Société des Établissements Merré (SEE Merré) fût notifiée de la commande de huit VSP, le 18 décembre 2019. Sa proposition industrielle a été conçue en collaboration étroite avec le cabinet d’architecture navale Frédéric Neuman quant à la rédaction du dossier de définition. La maîtrise d’ouvrage est assurée par la Direction générale de l’armement (DGA). La valeur du marché attribué est de 34,51 millions d'euros HT (2019), soit, et environ, 40 millions d'euros TTC (2020).

     Le marché des VSP est le plus gros jamais remporté par la SEE Merré, reprise début 2012 par le groupe BMA, déjà propriétaire de la chaudronnerie industrielle Forminox à Vertou, près de Nantes, puis de la Chaudronnerie Industrielle De Bretagne (CIB), à Brest, depuis le début de l'année 2016. BMA a rationalisé les compétences et capacités industrielles de ses nouvelles acquisitions autour d'un "pôle naval" sur ces trois sites : les compétences d’architecture et de conception des navires sont rassemblées et centralisées au site historique de Merré, à Nort-sur-Erdre.

     L'organisation industrielle présentée dans le cadre de la procédure de marché public consiste dans l'engagement des différents sites du pôle naval du groupe BMA, en particulier les sites de Nort-sur-Erdre et de Brest qui se partageront la construction des coques (coque et œuvres mortes à Nort-sur-Erdre ; œuvres vives, superstructures, aménagement et armement à Brest). À noter que la tuyauterie est usinée par Forminox (Vertou).

     La notification du marché des VSP (8), le 18 décembre 2019, constituait le lancement des études détaillées au pôle architecture et de conception au siège historique de Nort-sur-Erdre (Merré). La DGA validait les études détaillées des VSP en décembre 2020, jalon important car permettant d'engager la phase d'industrialisation du programme.

     Les Vedettes de Soutien à la Plongée (VSP) sont de construction en aluminium, mesurent, en longueur, 26,50 mètres hors-tout et 25,15 ou 25,50 mètres au niveau de la ligne de flottaison. Le maître-bau est de 7,00 mètres. Le tirant d'eau n'est que de 1,43 mètres. Le déplacement lège serait de 87 tonnes et le déplacement à pleine charge de 105 tonnes. La propulsion s'appuie sur deux moteurs diesels de 441 kW chacun (vitesses maximale (13 nœuds) et soutenue) et deux moteurs électriques de 23 kW chacun (petites vitesses (1 à 2 nœuds) pendant 75% des transits) transmettant leur puissance à deux lignes d'arbres et est complétée par un propulseur d'étrave à l'avant du bateau, à proximité de l'étrave. Elles pourront mettre en œuvre grâce à une potence d'une capacité de 200 kg permettant de mettre à l'eau et hisser à bord des scaphandriers, une embarcation pneumatique et des drones. Les VSP ont également une capacité à remorquer un sonar. Le bord est équipé d'un caisson hyperbare. Une artillerie secondaire peut être disposée, les premières images de synthèse présentant trois affûts pour mitrailleuse de 7,62 mm pouvant être disposées (un à l'avant, deux sur les bords arrière de la passerelle).

© Nicolas Cuoco (« Comment Tech Plus révolutionne le caisson hyperbare à Bandol », Nice Matin, 15 mars 2022).

      Il est à se demander si le caisson hyperbare pourrait être celui mis à l’étude et fabriqué par Tech Plus (Nicolas Cuoco, « Comment Tech Plus révolutionne le caisson hyperbare à Bandol », Nice Matin, 15 mars 2022), en réponse à un appel d’offres européen publié (en octobre 2021 ou quelques semaines plus tôt) par « une marine d’un pays membre de l’OTAN » - la Marine nationale est l’une des clientes de la société – qui avait exprimé le besoin d’un caisson hyperbare avec un poids à ne pas dépasser.

La société Tech Plus fût retenue avec sa proposition d’un caisson hyperbare de 1100 kg, de construction en aluminium, d’environ 400 000 euros (2022) et dont les études détaillées furent menées en six mois. C’était une première mondiale de retenir l’aluminium comme matériau pour la construction d’un tel équipement.

Le caisson hyperbare de Tech Plus peut accueillir trois plongeurs, est composé de deux lits, d’un siège, d’un hublot, de masques inhalateurs, d’un système incendie et d’un sas à médicaments.

Est-il destiné au programme VSP ? Difficile d’en douter puisqu’il a été dit par la société Tech plus qu’à la mi-avril ce caisson sera « déjà en service » dans le cadre d’une mission de l’Otan, en mer Méditerrané sur un « bateau de guerre capable d’accueillir une trentaine de plongeurs militaires » : les caractéristiques des Vedettes de Soutien à la Plongée dont la VSP n°1 débutera ses essais par le GPD MED en juin 2022.

     La construction proprement dite de la VSP n°1 aurait dû être engagée au second semestre 2020 afin pouvoir la livrer fin 2021, puis janvier 2022, et d'enchaîner avec le programme d'essais, début 2022, d'une durée de six mois, réparti entre Brest et Toulon. Mais la découpe de la 1ière tôle de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?) de 105 tonnes à pleine charge n'était effectuée que le 4 janvier 2021. Le chantier naval de Nort-sur-Erdre (Merré) achevait les œuvres mortes de la coque en juin et expédiait celle-ci, le 22 juin 2021, au soir, au site Chaudronnerie Industrielle De Bretagne (CIB), à Brest.

     La CIB réceptionnait la coque de la VSP n°1 Ophrys (2022 ?) le 23 juin 2021. CIB a la responsabilité de l'achèvement de la coque et de ses œuvres vives (superstructures, aménagement et armement). Le lancement et la mise à l'eau simultanée, 12 avril 2022, signifiait le quasi-achèvement de la construction de la vedette et le commencement des essais constructeurs et Marine nationale dès les jours suivants à quai puis dans le goulet de Brest. Ils seront menés jusqu'en juin 2022.

     L'une des particularités de ce marché, comme d'autres pour des bâtiments de servitude et de soutien, est l'exigence du cahier des charges que la pleine production en série ne soit pas lancée à partir de la première unité. Mais, et au contraire, que cette dernière puisse être essayée à la mer et en conditions opérationnelles durant une phase probatoire d’exploitation devant débutée à partir ou après juin 2022. D'une durée de trois ou six mois, elle sera menée à partir de la VSP n°1 Ophrys durant l'été 2022, depuis Toulon, par le GPD MED (Groupe de Plongeurs Démineurs (GPD) de la MEDiterranée (MED).

     La mise en production et construction en série des VSP n°2 à n°8 sera engagée à l'issue de la phase probatoire d’exploitation. La mise en production ne reprendra que fin 2022. Et toutes les VSP devront avoir été livrées entre fin 2023 et 2025.

     Ces quelques photographies permettent d'apprécier l'avancement et la bonne conduite du chantier de construction depuis les deux sites industriels en ayant reçu la charge. D'autres clichés pourront éventuellement être ajoutés.

 

© Cabinet d’architecture navale Frédéric Neuman. Une des premières vues de la proposition industrielle Merré retenue pour le programme Vedette de Soutien à la Plongée et qui servira à la communication ministérielle (DGA) entourant la proclamation du vainqueur du marché public.

 

© Cabinet d’architecture navale Frédéric Neuman - Merré. Une des nouvelles vues diffusées quelques semaines plus tard et attestant de quelques évolutions architecturales, découlant probablement des premiers échanges entre le soumissionnaire et l'équipe programme. À noter que les deux cheminées ont disparu et que l'organisation du tour de la passerelle a été revue.
 


© Merré. Découpe de la 1ière tôle d’aluminium de la VSP n°1 Ophrys (2022 ?), le 4 janvier 2021,  dans l’atelier de Merré à Nort-sur-Erdre. Cette tôle de pont permettait d'engager la construction d’un bloc de la coque à l’envers.



© Merré. Date non-précisée. L'un des premiers blocs de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?). La construction de se coque a été engagée « à l'envers ».

 

© Merré. Date non-précisée. L'un des premiers blocs de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?). La construction de se coque a été engagée « à l'envers ». L'aspect de ce bloc, et ce qui pourrait figurer la partie supérieure de l'étrave, invite à supposer qu'il s'agirait du dessous de la future plage avant de la VSP.




© Merré. La coque de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?), probablement en mars 2021. L'état d'avancement du chantier de construction est presque parvenu à la phase de soudure des tôles de borée aux couples apparents ici.



 

© Merré. La coque de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?), probablement quelques semaines plus tard que le mois de mai 2021. Il a été débuté les travaux de soudure des tôles de bordée de la coque aux couples. Le chantier naval de Nort-sur-Erdre (Merré) aura bientôt terminé sa part dans la construction de la vedette.




© Merré. La coque de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?) est achevée. Elle a été hissée sur une remorque, le 22 juin 2021. Tirée par un tracteur, elle est convoyée à partir du soir du 22 jusqu'à Brest où elle était réceptionnée par la Chaudronnerie Industrielle De Bretagne (CIB), le 23 juin 2021. CIB a la responsabilité des œuvres vives : superstructures, aménagement et armement.



 

© Merré. La coque de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?) est achevée. Elle a été hissée sur une remorque, le 22 juin 2021. Tirée par un tracteur, elle est convoyée à partir du soir du 22 jusqu'à Brest où elle était réceptionnée par la Chaudronnerie Industrielle De Bretagne (CIB), le 23 juin 2021. CIB a la responsabilité des œuvres vives : superstructures, aménagement et armement.


 

© Merré. La coque de la future VSP n°1 Ophrys (2022 ?) est achevée. Elle a été hissée sur une remorque, le 22 juin 2021. Tirée par un tracteur, elle est convoyée à partir du soir du 22 jusqu'à Brest où elle était réceptionnée par la Chaudronnerie Industrielle De Bretagne (CIB), le 23 juin 2021. CIB a la responsabilité des œuvres vives : superstructures, aménagement et armement.
 

 

© Merré. La Chaudronnerie Industrielle De Bretagne (CIB) réceptionnait la coque de la VSP n°1 Ophrys (2022 ?) le 23 juin 2021. CIB a la responsabilité de l'achèvement de la coque et de ses œuvres vives (superstructures, aménagement et armement).


 

© Merré. La Chaudronnerie Industrielle De Bretagne (CIB) réceptionnait la coque de la VSP n°1 Ophrys (2022 ?) le 23 juin 2021. CIB a la responsabilité de l'achèvement de la coque et de ses œuvres vives (superstructures, aménagement et armement).Ici, les travaux de peinture de la coque, encore dépourvue du bloc timonerie, sont manifestement terminés, supposément en mars 2022.




© Ouest France (« Mise à l’eau de la vedette de soutien à la plongée Y 6040 Ophrys », Ouest France, 12 avril 2022). Mise à l'eau, le 12 avril 2022, de la VSP n°1 Ophrys (2022 ?), avec l’aide de la grue de réparation navale, des dockers (MANUPORT) et des lamaneurs. Ces derniers ont convoyé la vedette entre le quai de réparation n°4 et le bassin n°5 du port de commerce où diverses vérifications furent effectuées.

 

 

© Merré. Mise à l'eau, le 12 avril 2022, de la VSP n°1 Ophrys (2022 ?), avec l’aide de la grue de réparation navale, des dockers (MANUPORT) et des lamaneurs. Ces derniers ont convoyé la vedette entre le quai de réparation n°4 et le bassin n°5 du port de commerce où diverses vérifications furent effectuées.

 

© Merré. Mise à l'eau, le 12 avril 2022, de la VSP n°1 Ophrys (2022 ?), avec l’aide de la grue de réparation navale, des dockers (MANUPORT) et des lamaneurs. Ces derniers ont convoyé la vedette entre le quai de réparation n°4 et le bassin n°5 du port de commerce où diverses vérifications furent effectuées.
 

 

© Michel Floch. Caroline Britz, « Mise à l'eau de la première VSP des plongeurs-démineurs », Mer et Marine, 12 avril 2022). La VSP n°1 Ophrys (2022 ?) est convoyée entre le le quai de réparation n°4 et le bassin n°5 du port de commerce où diverses vérifications furent effectuées.
 

 

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