Igor Delanoë, docteur en histoire moderne et contemporaine (université Nice Sophia Antipolis). Il a soutenu une thèse sur les intérêts et les ambitions de la Russie en Méditerranée (2012) par le truchement de l’activité de la flotte russe de la mer Noire depuis sa création à la fin du XVIIIe siècle jusqu’à nos jours. Il a ensuite effectué un post-doctorat à l’université de Harvard au sein de la John F. Kenndy School of Government (National Security Program) et du Ukrainian Research Institute. Igor Delanoë a ensuite enseigné l’histoire au Collège universitaire français de Saint-Pétersbourg. Il est chercheur associé au Harvard Ukrainian Research Institute et au Center for International and European Studies (université Kadir Has, Istanbul). Il est également blogger pour le Russian International Affairs Council (Moscou) en plus d'entretenir son propre blog (« Le portail des forces navales de la Fédération de Russie »), membre de la plateforme Za Rodina. Depuis septembre 2015, il est le directeur-adjoint de l’Observatoire franco-russe de Moscou.
Étude des avant-projets demandés par l'organe ayant à charge la flotte à construire (Conseil Supérieur de la Marine, Conseil des Travaux, SCEM/PLANPROG, OCA Marine, ASF, etc) et présentés à l'autorité politique. L'enjeu consiste à déterminer comment la Marine engage ces projets dans le processus institutionnel (contrat opérationnel, plan naval ? Loi(s) de financement, etc) pour faire correspondre la flotte à construire avec la flotte répondant au problème militaire français. ISSN : 2271-1163
Les @mers du CESM
Les @mers du CESM - 19 avril 1944 : Le cuirassé Richelieu participe au bombardement de Sabang, base japonaise en Indonésie. Le navire français, ayant rejoint l’Eastern Fleet commandée par l’amiral britannique Somerville, prendra part à trois autres opérations visant des bases navales ennemies. Après 52 mois passés en mer, le bâtiment rentre à Toulon le 1er octobre 1944. À nouveau déployé en Asie du Sud-Est l’année suivante, le bâtiment assistera à la capitulation du Japon dans la rade de Singapour le 23 septembre 1945. | |
31 mars 2016
GAé : embarquement sur un CVN ?
Nous souhaitons arrêter notre tour des possibles quand au maintien des compétences du groupe aéronaval en l'absence de son centre, le porte-avions, par quelques remarques quant à l'allié américain. Notre dépendance à l'égard de l'aide américaine pour maintenir des qualifications semble, selon nous, être l'une des approches révélant les failles de notre outil aéronaval et donc de notre crédibilité stratégique.
30 mars 2016
GAé : embarquement à bord du RFS Amiral Kuznetsov ?
© Wikipédia. Le porte-aéronefs Amiral Kuznetsov à la mer en 2002. |
N'abandonnons pas notre tour d'horizon afin de trouver un pont plat pour le
Groupe Aérien embarqué (GAé) avant de revenir à l'allié américain. Sur la période allant de janvier 2017
jusqu'au milieu de l'année 2018, le GAé devra résoudre la quadrature du cercle consistant à préserver les qualifications opérationnelles sur porte-avions du personnel sans porte-avions. Pourquoi exclure, d'emblée, avant même d'avoir soulevé la question, un embarquement à bord du porte-aéronefs russe ?
29 mars 2016
GAé : embarquement à bord de l'INS Vikramaditya ?
© Inconnu. INS Vikramaditya to participate in exercise off Gujarat coast. |
Poursuivons notre tour d'horizon à la recherche d'un pont plat pour le Groupe Aérien embarqué (GAé). Sur la période allant de janvier 2017 jusqu'au milieu de l'année 2018, il aura la
lourde tâche de trouver les solutions pour sauvegarder ses
qualifications. Par réflexe ou défaut, les regards se tournent
vers l'allié américain. Pourrions-nous, au moins, tenter
de regarder d'autres horizons, par exemple indiens ?
28 mars 2016
GAé : embarquement à bord du NAe São Paulo ?
© Inconnu. Le Naé Sao Paulo (ex-Foch) à quai. |
26 mars 2016
Augmentation de la poussée du M88 et aéronavale embarquée
© Marine Nationale - Boidec. Un Rafale Marine au catapultage sur le Charles de Gaulle. |
L'entreprise Safran se déclare favorable à une augmentation de la poussée du réacteur M88, équipant le biréacteur Rafale, de 7,5 à 9 tonnes avec post-combustion. Une augmentation de la puissance d'un moteur au cours de son service peut apparaître comme logique eu égard à son amélioration continue. Quelles peuvent être les conséquences sur l'intégration et l'emploi du Rafale à bord du porte-avions ?
24 mars 2016
Entretien avec Benjamin Guillon - La pertinence du concept d' "AirSea Battle" en tant que réponse aux stratégies d'anti-accès et de déni d'accès
Passionné par l’histoire militaire depuis de nombreuses années, avec notamment, l’époque napoléonienne, la guerre de Sécession et les deux Guerres mondiales. Une affection prononcée pour les marines militaires, en particulier la Marine Nationale (où la visite de la base navale de Toulon a été un déclic et m’a poussée à effectuer des recherches sur le fait maritime) et l’US Navy. Détenteur d’une Licence d’histoire (Université Lumière (Lyon II) et d’un Master de Science Politique spécialité Sécurité Internationale et Défense (Université Jean Moulin (Lyon III) dont les deux mémoires de recherche ont porté sur le fait maritime :
- « Le rôle des marines militaires à l’heure du processus de maritimisation des économies » en 2014 ;
- « La pertinence du concept d’ «AirSea Battle» en tant que réponse aux stratégies d’anti-accès et de déni d’accès » en 2015.
22 mars 2016
En mémoire - vice-amiral d'escadre Guy Joseph Henri LABOUERIE
© Inconnu. |
Pour la mémoire du vice-amiral d'escadre Guy Joseph Henri Labouérie (1933-2016), académicien de Marine, dont nous apprenons la disparition (merci à l'ami terrien), nous proposons ces quelques lignes pour présenter succinctement sa carrière dans la Marine mais également sa "retraite" de la Marine au service de la Royale.
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