Les @mers du CESM


Les @mers du CESM - 19 avril 1944 :

Le cuirassé Richelieu participe au bombardement de Sabang, base japonaise en Indonésie. Le navire français, ayant rejoint l’Eastern Fleet commandée par l’amiral britannique Somerville, prendra part à trois autres opérations visant des bases navales ennemies. Après 52 mois passés en mer, le bâtiment rentre à Toulon le 1er octobre 1944. À nouveau déployé en Asie du Sud-Est l’année suivante, le bâtiment assistera à la capitulation du Japon dans la rade de Singapour le 23 septembre 1945.





31 août 2016

DCNS coque(s) en stock

 
© भारतीय नौसेना (Bharatiya Nau Sena / Indian Navy). Le Kalvari avant sa mise à l'eau.




Le journal The Australian, par la plume de Cameron Stewart, faisait paraître « Our French submarine builder in massive leak scandal » (24 août 2016). « The data seen by The Australian includes 4457 pages on the submarine’s underwater sensors, 4209 pages on its above-water sensors, 4301 pages on its combat management system, 493 pages on its torpedo launch system and specifications, 6841 pages on the sub’s communications system and 2138 on its navigation systems. » Il s’agirait d’une ou plusieurs documentations ayant trait à l’état du Scorpène indien tel que connu en 2011. Ce fameux article ne fait plus la « Une » du site internet. Il est relégué à une citation dans la liste des articles les plus « populaires » tout en bas de la page. Aussi, l’accessibilité de l’article pour sa version en ligne est relativement aléatoire (entre les 24 et 27 août). 

23 août 2016

BS-411 Orenburg ou BS-64 Podmoskovye : quelle pêche en 2016 ?

© Inconnu.
Nous souhaitons revenir sur le passage remarqué d'un vaisseau noir de la VMF dans le Golfe de Gascogne. Le seul intérêt des quelques lignes suivantes est de pousser en avant une hypothèse à la hauteur du "bébé" et de ses capacités. Si c'est digne d'un roman de Michael Dimercurio, certes, c'est aussi un moyen d'attirer l'attention sur les "opérations spéciales sous-marines" et les bateaux affectés à ces tâches. 

31 juillet 2016

2017 - 2025 : une prééminence aéronavale américaine renforcée ?

© Mae O. Campbell/U.S. Navy. Tug boats maneuver the pre-commissioning unit Gerald R. Ford (CVN 78) into the James River during the ship's "turn ship" evolution on June 11, 2016, in Newport News, Virginia.
Nous proposions quelques remarques sur le positionnement des bombardiers anti-navires (sans nous attarder sur les indispensables avions de patrouille maritime). Remarquons que les quelques années à venir serons positives pour la diplomatie navale américaine eu égard à l'activité des différents porte-aéronefs et porte-avions de par le monde. 

29 juillet 2016

Océans Indien et Pacifique, les bombardiers anti-navires entrent en jeu

© Alexander Beltyukov. Tupolev Tu-22M3 à Ryazan Dyagilevo.


Le Monde tourne son attention vers la mer de Chine du Sud (ou mer de Chine méridionale ou mer de l'Est) puisque trois grandes marines s'y concentrent à l'occasion d'exercices (US Navy, MAPL et VMF). C'est pourquoi nous nous intéressons aux récentes annonces de positionnements de bombardiers dans les océans Indien et Pacifique.

28 juillet 2016

Remorqueur océanique, une nouvelle unité logistique ?

© Ulstein. Le A122.

Venons-en à la question des Remorqueurs de Haute Mer (RHM) dont nous souhaitons en extraire une catégorie à part : les Remorqueurs Océaniques (RO). Leur noble mission est confrontée au gigantisme maritime nous conduit à constater l'obsolescence du dispositif maritime français. Cette mission classique ouvre, par son évolution matérielle, de nouvelles possibilités pour les missions navales. 

27 juillet 2016

Remorqueurs Portuaires et Côtiers (RPC) : remplacer les chevilles ouvrières de la Flotte ?

La Houssaye employé comme pousseur sur la coque du méthanier malais Tenaga Satu (12 juin 2005).
Les Remorqueurs Portuaires et Côtiers (RPC), en leur grande majorité, atteignent l'obsolescence autant par l'âge que par l'inadéquation entre leurs capacités et les missions. Les documents publics ne semblent pas recéler un programme de remplacement. Pourtant, les RPC sont indispensables à la vie des arsenaux.

26 juillet 2016

Surveillance océanique : un rôle pour les BSAH ?

© DCNS. BSAH.
La poussière navale dédiée aux missions de sauvegarde maritime peut-elle contribuer aux opérations de la "marine de guerre" ? Bien des cercles de réflexions s'interrogent sur un éventuel apport des forces de garde-côtes aux missions purement navales. L'expérience des deux guerres mondiales invitent à s'y intéresser. Dirigeons notre attention vers un apport potentiel des BSAH à la surveillance océanique.