© Inconnu. Le cuirassé Richelieu lors du montage des hélices tribord. |
La propulsion du deuxième porte-avions (PA2) et/ou celle du "nouveau porte-avions" (PA3) devant succéder au Charles de Gaulle amène des problématiques anciennes quant aux choix à effectuer vis-à-vis d'un déplacement qui s'annonce supérieur à 50 000 tonnes. Le "seuil" constitué par les cuirassés de la classe Richelieu devrait être franchi. Par exemple, combien de lignes d'arbre ?