Les @mers du CESM


Les @mers du CESM - 19 avril 1944 :

Le cuirassé Richelieu participe au bombardement de Sabang, base japonaise en Indonésie. Le navire français, ayant rejoint l’Eastern Fleet commandée par l’amiral britannique Somerville, prendra part à trois autres opérations visant des bases navales ennemies. Après 52 mois passés en mer, le bâtiment rentre à Toulon le 1er octobre 1944. À nouveau déployé en Asie du Sud-Est l’année suivante, le bâtiment assistera à la capitulation du Japon dans la rade de Singapour le 23 septembre 1945.





18 octobre 2010

Chronique de Stratégie et Tactique navale : le SMX-25 ou le retour du submersible par DCNS




Le Mamouth nous annonçait une nouvelle attendue peut-être moins que d’autres. Le contexte est plus favorable à l’annonce de bouleversements stratégiques qu'à la révélation en exclusivité du nouveau concept de navire de DCNS ! Et donc, après les SMX-21, 22, 23 (qui donnait naissance à l’Andrasta) et 24, la DCNS dévoile peu à peu son petit dernier : le SMX-25.

14 octobre 2010

Chronique de Stratégie et Tactique navale : présentation

© Inconnu. Revue de la flotte à Toulon, prise du cuirassé Voltaire en 1909. Au fond à gauche, on distingue le Masséna.
Il va être proposé aux lecteurs du Portail des sous-marins d’apprécier une nouveauté sur le site : la création d’une chronique régulière.

24 juin 2010

Dissolution de la Belgique : une chance pour la Défense française ?

© Inconnu.
Ce dimanche 13 juin 2010 fut un peu particulier. Nos compatriotes européens de Belgique ont voté pour renouveler leur « Chambre » et Sénat. Depuis plusieurs décennies, ces élections se font dans un climat toujours plus tendu. La cause indépendantiste flamande a encore progressé : le premier parti flamand sorti des urnes est indépendantiste.

12 mai 2010

Corvette Hermès, BATSIMAR et stratégie des moyens maritimes



Ces derniers temps on fait la promotion massive du lancement de la frégate Aquitaine, tête de série du programme FREMM (Frégates Européennes Multi-Missions). Il est étonnant de célébrer un échec financier. Pour rappel, le prix unitaire a presque doublé (de 380 à 630 millions d'euros) pour un nombre de navires ramené de 17 (ou 19 selon l'époque) à 11. Il faut tout de même remarquer qu'en plein choc financier, où tout coule, personne ne pointe ce genre de dérapage (alors que le programme BPC avait été exemplaire, ou presque). La DGA nous expliquera que l'on ne sait ni lire, ni compter... On lui répondra pour couper court au débat qu'on s'étonne très sincèrement qu'elle traverse les « ratés » de conduite de programme, dont elle a la charge, sans être inquiétée le moins du monde (NH90, A400M, FREMM, Horizon...) !