
La
vente de la frégate Normandie - dont la signature du contrat doit très
certainement intervenir le lundi 16 février - est soit un cadeau
empoisonné, soit le prix à payer pour déverouiller les chances de succès
du Rafale pour les marchés à l'exportation. Tout du moins, la Marine
nationale se sépare de la frégate qui devait accueillir cette année le
tir de qualification du Missile de Croisière Naval à bord d'un navire de
surface, une première en Europe. Surtout, quid de l'avenir de la flotte
de surface française alors que l'Etat ne se prononce - toujours - pas
sur la situation ? Tentons d'apercevoir la situation.






