Sur le plan militaire, la Galéasse apparaît au XVIe siècle selon Philippe Masson -"De la Mer et de sa Stratégie". Ce navire hybride est la dernière évolution d'un navire plus que millénaire : la galère.
Cette tentative de conjuguer les avantages de la galère et des
précurseurs du vaisseau fera merveille dans premier temps, en
Méditerranée.
Étude des avant-projets demandés par l'organe ayant à charge la flotte à construire (Conseil Supérieur de la Marine, Conseil des Travaux, SCEM/PLANPROG, OCA Marine, ASF, etc) et présentés à l'autorité politique. L'enjeu consiste à déterminer comment la Marine engage ces projets dans le processus institutionnel (contrat opérationnel, plan naval ? Loi(s) de financement, etc) pour faire correspondre la flotte à construire avec la flotte répondant au problème militaire français. ISSN : 2271-1163
Les @mers du CESM
Les @mers du CESM - 19 avril 1944 : Le cuirassé Richelieu participe au bombardement de Sabang, base japonaise en Indonésie. Le navire français, ayant rejoint l’Eastern Fleet commandée par l’amiral britannique Somerville, prendra part à trois autres opérations visant des bases navales ennemies. Après 52 mois passés en mer, le bâtiment rentre à Toulon le 1er octobre 1944. À nouveau déployé en Asie du Sud-Est l’année suivante, le bâtiment assistera à la capitulation du Japon dans la rade de Singapour le 23 septembre 1945. | |
23 mai 2012
22 mai 2012
La Galère, le navire des mers étroites et fermées
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| © Wikipédia. Une galère par Pierre Puget, vers 1655. |
Depuis
l'Antiquité jusqu'au début du XIXe siècle, les galères furent utilisées
par bien des marines. L'historien Philippe Masson n'hésite pas à écrire
que ce fut un "règne interminable". Dans l'un de ses ouvrages, "De la Mer et de sa Stratégie"
(aux éditions Tallandier), il décrit la place des galères dans
l'Histoire et les marines, pourquoi elles perdurèrent, pourquoi elles
disparurent.
18 mai 2012
Le gouvernement anglais a-t-il sciemment torpillé la refonte CATOBAR des Queen Elizabeth ?
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| © Mer et Marine. La dernière mouture du PA2 : "Juliette 2". |
L'article d'hier -"Abandon des EMALS à bord des CVF : un manque de puissance électrique ?"-
se concluait sur un constat inattendu, et relevé seulement par Kouak :
l'absence de production de vapeur à bord d'un éventuel CVF ou CVF-FR
CATOBAR mettant en oeuvre des catapultes à vapeur. Un autre lecteur, Gilles, pointe du doigt les ambigüités gouvernementales anglaises à propos de la refonte CATOBAR avec EMALS (ElectroMagnetic Aicraft Launch System)
: l'argument du manque de puissance électrique, développé dans le
billet d'hier, ne résisterait pas au doute suscité par de nouvelles
questions, et de nouveaux éléments.
16 mai 2012
Abandon des EMALS à bord des CVF : un manque de puissance électrique ?
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| © Incoming. |
Ainsi
donc, l'actuel gouvernement anglais a choisi de faire le chemin inverse
de celui qui avait conduit le précédent aux décisions de la Strategic Defense Review de 2010. Au grand dam d'une partie de l'opinion navale anglaise, ce ne sera plus le F-35C qui appontera sur le Prince of Wales, mais les F-35B qui pourraient apponter sur les deux navires. La décision anglaise est d'une logique difficilement contestable en l'état actuel des informations.
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