Les @mers du CESM


Les @mers du CESM - 19 avril 1944 :

Le cuirassé Richelieu participe au bombardement de Sabang, base japonaise en Indonésie. Le navire français, ayant rejoint l’Eastern Fleet commandée par l’amiral britannique Somerville, prendra part à trois autres opérations visant des bases navales ennemies. Après 52 mois passés en mer, le bâtiment rentre à Toulon le 1er octobre 1944. À nouveau déployé en Asie du Sud-Est l’année suivante, le bâtiment assistera à la capitulation du Japon dans la rade de Singapour le 23 septembre 1945.





28 janvier 2011

Commande et construction de deux nouveaux porte-avions dans les années 2030 ?




" Le déplacement du PA2 est, quant à lui, de 59.000 tonnes à pleine charge (au neuvage). Ce bâtiment est donc moins lourd que la version française du CVF précédemment étudiée (65.000 tonnes). Pourtant, les capacités en emport d'aéronefs sont identiques, avec des infrastructures dimensionnées pour 32 Rafale, 3 Hawkeye et 5 hélicoptères. « On l'a fait mincir. Ce design bénéficie par rapport au précédent d'une forme de carène améliorée. De manière générale, le bateau a été optimisé pour répondre au mieux aux besoins de la Marine nationale, mais aussi dans une perspective très forte de réduction de coûts », explique un ingénieur. Officiellement, aucun chiffre n'est donné mais, dans les coursives, on évoque une facture réduite d'environ 20%. Les efforts portent sur le budget nécessaire à la phase de réalisation, mais aussi sur l'exploitation, avec une maintenance réduite et un équipage restreint grâce aux automatismes. Ainsi, l'équipage du PA2 est donné à 1690 personnes, dont seulement 900 pour la conduite du bâtiment. Cela représente une baisse sensible par rapport au Charles de Gaulle. Bien que plus petit (261 mètres, 42.000 tonnes) et embarquant moins d'appareils, l'actuel porte-avions français est armé par un peu moins de 2000 personnes (groupe aérien embarqué compris).
 

08 janvier 2011

BATSIMAR, BIS et BSAH, l'UT 527 : une objection, monseigneur ! Par Midship


Ces bâtiments (les UT) ne sont aucunement capable de combattre. Et alors, me direz-vous ? Il est vrai que la dépollution, le sauvetage, etc ne demande aucun feu, et que les situations plus tangentes comme le contrôle des pêches, de l'immigration et même le narcops sont généralement effectuées par un duo commando à bord d'une embarcation rapide / hélicoptère avec tireur de précision. Bon, soit. Mais.

09 décembre 2010

SLAMF : drone naval Espadon pour lutte anti-mines et perspectives

© Inconnu.


Lignes de Défense nous apprend que le drone (UUV) Espadon (Evaluation de Solutions Potentielles d'Automatisation de Déminage pour les Opérations Navales) a été mis à l'eau au pied du viaduc d'Hennebont. C'est un drone de 25t pour 17m tout de même !