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Un discret changement de paradigme était considéré dans la Marine nationale pendant la définition des équipements des Frégates de Taille Intermédiaire (FTI). Il s'opérerait sur le programme des Bâtiments Ravitailleurs de Forces (BRF) puis des Patrouilleurs Océaniques (PO). Moins que la (ré)introduction d'un calibre intermédiaire entre la défense à très courte portée contre des buts asymétriques et les traditionnelles pièces d'artillerie de Marine polyvalentes, c'est bien plus une ouverture concédée à l'emploi d'une pièce d'artillerie contre les adversaires asymétriques et la défense anti-aérienne.
Les canons de 100 mm de la Marine nationale sont les héritiers des recherches menées dès les années 1920 pour développer une artillerie à moyenne et longue portée dite à "double usage" ou "mixte" (dual-purpose). Plusieurs voies sont explorées dont les principales furent dans les 100, 130, 152 et 155 mm. La tourelle double de 127/38 de l'US Navy est certainement la meilleure tourelle de sa génération découlant de cette recherche.
La recherche française en la matière aboutit au canon de 127 mm modèle 1948 qui est une belle réalisation qui arrive si tard : vingts avant après l'identification du besoin. Et il devient rapidement obsolète face à l'introduction des "jets" car la cadence de tir est trop faible, les mouvements de la tourelle sont trop lents.
Les croiseurs-escorteurs devenus les frégates lance-engins empruntent l'autre voie pour l'artillerie à double usage fondée cette fois-ci sur le canon de 100 mm. Pièce plus légère et d'une cadence de tir autrement plus élevée. Les Suffren (1967 - 2001) et Duquesne (1970 - 2007) portent deux tourelles simples de 100 mm modèle 1953. Calibre qui deviendra la règle sur chacun des bâtiments des classes suivantes jusqu'aux frégates de la classe La Fayette.
Le perfectionnement des pièces d'artillerie de Marine conduisait généralement à une amélioration significative de leur précision grâce à l'adoption des fusées de proximité et l'introduction dans les conduites de tir de radars couplés plus tard à l'optronique.
L'augmentation de la cadence de tir est significative puisque le canon de 100 modèle 1953 soutenait 60 coups par minute et culmine jusqu'à 90 coups par minute par sa dernière évolution. Depuis 1930, la cadence de tir fut multipliée par 5 sans augmentation du nombre de canons, les tourelles demeurant "simples".
Année de conception
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1897
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1930
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1945
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1953
|
1964
|
1990
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Versions
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Modèle
1892 1893 1895 1897 |
Modèle
1933 |
Modèle
1968 1968 CADAM 1968-II 100 TR | |||
Calibre (mm)
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100
|
100
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100
|
100
|
100
|
100
|
Longueur en calibre
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45
|
45
|
55
|
55
|
55
|
55
|
Cadence de tir
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16
|
25
|
60
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72 (1964)
78 (1968 CADAM)
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90
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Vitesse initiale (m.s-1)
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740
|
780
|
855
|
870
|
870
|
870
|
Poids obus (kg)
|
16
|
24,2
|
22,9
|
23,5
|
23,5
|
23,5
|
Portée / but marin (mètres)
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9 500
|
15 900
|
17 260
|
17 000
|
17 000
|
17 000
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Portée / but aérien
|
?
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10 000
|
11 300
|
6 000
|
6 000
|
6 000
|
Les croiseurs-escorteurs devenus les frégates lance-engins empruntent l'autre voie pour l'artillerie à double usage fondée cette fois-ci sur le canon de 100 mm. Pièce plus légère et d'une cadence de tir autrement plus élevée. Les Suffren (1967 - 2001) et Duquesne (1970 - 2007) portent deux tourelles simples de 100 mm modèle 1953. Calibre qui deviendra la règle sur chacun des bâtiments des classes suivantes jusqu'aux frégates de la classe La Fayette.
Le perfectionnement des pièces d'artillerie de Marine conduisait généralement à une amélioration significative de leur précision grâce à l'adoption des fusées de proximité et l'introduction dans les conduites de tir de radars couplés plus tard à l'optronique.
L'augmentation de la cadence de tir est significative puisque le canon de 100 modèle 1953 soutenait 60 coups par minute et culmine jusqu'à 90 coups par minute par sa dernière évolution. Depuis 1930, la cadence de tir fut multipliée par 5 sans augmentation du nombre de canons, les tourelles demeurant "simples".
Néanmoins, la première défense contre les chasseurs équipés de réacteurs mais aussi contre les missiles anti-navires fut rapidement le triptyque missiles anti-aérien, guerre électronique et contre-mesures. La pièce d'artillerie polyvalente demeure et y participe mais n'est plus centrale. A partir des frégates F70, il n'y a plus qu'une seule tourelle et à un seul canon. L'artillerie navale devient presque accessoire car réduite à faire le lien entre l'artillerie légère servant l'auto-défense à très courte portée et l'emploi des missiles anti-navires et anti-aériens.
OTO Melara 76 mm Super Rapid
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Canon de 100 COMPACT Mk 2
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Année de conception
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1985
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1990
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Calibre (mm)
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76
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100
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Longueur en calibre
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62
|
55
|
Cadence de tir
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120
|
90
|
Vitesse initiale (m.s-1)
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915
|
870
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Poids obus (kg)
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12,5
|
23,5
|
Portée / but marin (mètres)
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40 000 (Vulcano)
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17 000
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Portée / but aérien (mètres)
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8 000 (DART)
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6 000
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Les programmes HORIZON et FREMM (FRégates Européennes Multi-Missions) menés conjointement avec l'Italie voit Paris acceptait l'adoption de pièces de 76 mm pour deux raisons principales : la première est que la France ne consacre plus de programmes nationaux pour donner une suite à la tourelle de 100 TR. La deuxième est qu'il s'agit de l'une des contreparties industrielles italiennes qui peut se gargariser des fructueux efforts italiens au profit de ce calibre.
L'État-Major de la Marine (EMM) avait même formalisé une standardisation et réduction du nombre de calibres pour la flotte issue des nouveaux programmes autour du 20 mm pour la défense à très courte-portée, le 76 mm pour la défense à courte et moyenne portée plus le 100 mm faute de pouvoir le remplacer.
L'harmonisation voulue est des plus louables puisqu'elle évite une dispersion des calibres, favorise donc la rationalisation des dépenses en matière de formation et de soutien et donc une optimisation de la dépense globale pour essayer d'atteindre l'équipement de tous les bâtiments de combat, surtout pour les tourelles télé-opérées de 20 mm.
Le triptyque et le dogme développait autour de lui qui a survécu à la guerre Iran - Irak et à la guerre des Malouines reposait sur des engagements symétriques. Les équipements et installations à bord permettaient d'envisager autant les escarmouches que les scénarios les plus complexes pour un groupe naval constitué face à des tirs sporadiques ou des salves tendant à la saturation.
Néanmoins, l'évolution des risques et menaces laisse entrevoir une démocratisation de la saturation par l'entremise des drones qui pourrait être à la portée des groupes armées non-étatiques. Même les acteurs traditionnels s'y intéressent avec des solutions plus sophistiquées en matière de caractéristiques intrinsèques des vecteurs.
Ce qui se dessine est donc une rupture de la défense mise en œuvre par les bâtiments de guerre face à une saturation peu ou pas élaborées. Cela exige d'explorer plusieurs voies différentes pour y répondre et donc tenir la posture matérielle en la matière. Les solutions d'artillerie navale existent sur étagère quand les évolutions des missiles seront pertinentes quant apparaîtront des "mini-missiles" peu coûteux et plus en regard sur le plan financier avec la menace à traiter. La guerre électronique est une voie très intéressante à étudier car plus l'engin aérien repose sur des systèmes sommaires, plus il risque d'être sensible au brouillage et aux contre-mesures.
D'autres améliorations technologiques invitent à une reconsidération de l'artillerie navale. Le développement des obus guidés, propulsés avec réduction de la traînée et guidage terminal assuré par laser ou par données satellitaires permettent d'espérer, environ, pour un 127 mm de 80 à 120 km de portée. Le nombre de coups disponibles dans une soute sous-jacente à la tourelle est autrement plus important que tous les missiles de croisière pouvant être ensilotés à bord.
L'un des derniers développement notables est l'apparition de l'obus Hyper Velocity Projectile (HVP) pouvant atteindre Mach 3 et prétendre à intercepter des missiles. Chemin limité d'office à la faculté d'une tourelle à tirer suffisamment d'obus au cours d'une minute : le 5-inch/54 caliber (Mk 45) soutient 16 à 20 coups par minute.
C'est un complètement très intéressant aux missiles qui interpelle vis-à-vis de l'adéquation des solutions retenues hier pour aujourd'hui face aux missiles anti-navires volant en haut-supersonique tout en étant manœuvrant et face aux futurs missiles hypersoniques. C'est peut être à cet égard car qu'il s'agit de lire les efforts italiens vers la multiplication des pièces de 76 mm à bord de leurs bâtiments tout en continuant à les améliorer à la marge : tant les tourelles (STRALES) que les obus (DART).
Les recherches en matière de canons électrique et électromagnétique laissent entrevoir des portées de 200 à 400 km qui viennent concurrencer pour la première fois depuis les années 1950 le missile par le canon contre les buts marins et terrestres. Et encore, ces voies technologiques laissent à peine leur potentiel apparaître en matière de défense anti-aérienne, domaine où ils concurrenceront les laser.
Plus largement, la servitude technologique ainsi énoncée par l'Amiral Castex invite à ne pas oublier que les canons électrique et électromagnétique sont à considérés pour tous les calibres. Et les expérimentations de laser de combat se démocratisent. Cela accompagne les évolutions constatées et considérées pour des calibres spécialisés.
Il en résulte que les 20 et 76 mm ne paraissent plus être intéressants vis-à-vis des menaces identifiées.
Le 20 mm est une pièce très spécialisée contre les buts dits "asymétriques"mais ne peut participer à lutter contre une attaque saturante mobilisant de très nombreux buts aériens.
Le 76 mm est d'un intérêt très limité face à des buts terrestres eu égard à la faible quantité d'explosif embarquée dans chaque obus, ce qui diminue l'intérêt d'en acquérir une version de précision avec un guidage terminal par réception des données satellitaires, par exemple.
Ce calibre conserve de bons arguments pour la lutte anti-aérienne mais qui sont sérieusement contrebalancés par les cadences de tir et les obus développés pour d'autres calibres. Le meilleur exemple est l'obus 3P pour le 57 mm de Bofors qui a fait sensation dans la Marine nationale. L'industriel italien - OTO Melara - argue qu'un obus de 76 mm contient deux fois plus d'explosif qu'un de 57 mm. Cela augure des choix très fins quant aux menaces traitées, à quelle distance et par quel système d'armes.
Par ailleurs, se justifie-t-il encore d'accorder une place à une artillerie à l'usage "accessoire" sur la plage avant d'une frégate alors que le volume pouvant être accordé au système de lancement vertical est compté et coûteux ?
Il est intéressant de noter que deux des configurations proposées mais non-retenues comportaient soit un 127 mm (5-inch/54 caliber de BAES), soit une pièce de 57 mm de Bofors couplée à deux RAPID SeaFire T40 de Thales. Les programmes Bâtiments Ravitailleurs de Forces (BRF) puis des Patrouilleurs Océaniques (PO) pourraient voir l'adoption du RAPID SeaFire T40 de Thales à raison de deux pièces pour les BRF et d'une seule sur la plage avant pour les PO.
Plus largement, la servitude technologique ainsi énoncée par l'Amiral Castex invite à ne pas oublier que les canons électrique et électromagnétique sont à considérés pour tous les calibres. Et les expérimentations de laser de combat se démocratisent. Cela accompagne les évolutions constatées et considérées pour des calibres spécialisés.
Il en résulte que les 20 et 76 mm ne paraissent plus être intéressants vis-à-vis des menaces identifiées.
Le 20 mm est une pièce très spécialisée contre les buts dits "asymétriques"mais ne peut participer à lutter contre une attaque saturante mobilisant de très nombreux buts aériens.
Le 76 mm est d'un intérêt très limité face à des buts terrestres eu égard à la faible quantité d'explosif embarquée dans chaque obus, ce qui diminue l'intérêt d'en acquérir une version de précision avec un guidage terminal par réception des données satellitaires, par exemple.
Ce calibre conserve de bons arguments pour la lutte anti-aérienne mais qui sont sérieusement contrebalancés par les cadences de tir et les obus développés pour d'autres calibres. Le meilleur exemple est l'obus 3P pour le 57 mm de Bofors qui a fait sensation dans la Marine nationale. L'industriel italien - OTO Melara - argue qu'un obus de 76 mm contient deux fois plus d'explosif qu'un de 57 mm. Cela augure des choix très fins quant aux menaces traitées, à quelle distance et par quel système d'armes.
Par ailleurs, se justifie-t-il encore d'accorder une place à une artillerie à l'usage "accessoire" sur la plage avant d'une frégate alors que le volume pouvant être accordé au système de lancement vertical est compté et coûteux ?
Il est intéressant de noter que deux des configurations proposées mais non-retenues comportaient soit un 127 mm (5-inch/54 caliber de BAES), soit une pièce de 57 mm de Bofors couplée à deux RAPID SeaFire T40 de Thales. Les programmes Bâtiments Ravitailleurs de Forces (BRF) puis des Patrouilleurs Océaniques (PO) pourraient voir l'adoption du RAPID SeaFire T40 de Thales à raison de deux pièces pour les BRF et d'une seule sur la plage avant pour les PO.
Ces considérations sont révélatrices des adaptations matérielles explorées dans la Marine nationale après les expériences des dernières opérations et autres engagements, sans compter le retour d'expérience reçu par l'entremise des alliés. Par exemple, le 127 mm est très poussé depuis l'opération Harmattan (19 mars 2011 – mars 2011) dans la Marine nationale. Son intégration au programme Frégates de Taille Intermédiaire fut très proche. Aussi, mettre en concurrence SIMBAD RC de MBDA et RAPID SeaFire T40 de Thales sur les BRF revient à considérer qu'une pièce d'artillerie de Marine peut concurrencer des missiles contre des buts de surface et aériens.
Il semblerait que ce soit la fin de la pièce à usage dual ou dite polyvalente dans sa monture actuelle. L'apparition d'un obus HVP signe le grand retour de l'artillerie anti-aérienne à longue portée. Et le calibre de cette dernière est compatible avec les nouvelles possibilités matérielles des obus à longue portée. Ce seront toujours des pièces à usage dual mais l'acceptation de ce vocable tel qu'il était entendu dans les années 1920 - 1930.
Les nouvelles propositions de tourelles d'artillerie, non-pénétrantes en général, offrent une liberté architecturale permettant d'essayer de les placer en ligne, permettant de croiser les tirs. Aux calibres considérés (20, 25, 30 et 40 mm), ces tourelles laissent entrevoir, là aussi, un usage mixte : et contre les buts de surface même dits "asymétriques" et contre les buts aériens.
Sur le plan architectural, ces évolutions, si elles étaient validées comme des réponses adaptées à l'évolution des menaces, appellent à prévoir pour les futurs bâtiments de combat des dispositions pour favoriser la disposition en ligne des pièces d'artillerie anti-aérienne et anti-surface afin de favoriser le tir croisé et donc couvrir tous les secteurs. Mais aussi un volume dédié sur la plage avant et de considérer des tourelles doubles, voire triples tant pour les tirs contre terre que sur buts aériens. Ce qui reviendrait à questionner la pertinence de disposer les silos du système de lancement vertical sur la seule plage avant, ce qui est déjà une disposition contestable du point de vue de la capacité à durer au combat de la plateforme.
Bonjour
RépondreSupprimerIl vous manque dans cette analyse la notion du missile tel que le MMP de MBDA en association avec des pièces artilleries, non ?
Madame, Monsieur,
SupprimerBonsoir, dans cette perspective j'ai tendance à assimiler l'emploi de MMP depuis un lanceur dédié de la même manière que celui des MISTRAL 3 depuis un affut SIMBAD RC.
Il est vrai qu'il y a une problématique à explorer pour assimiler - ou non - ces missiles et les pièces.
Bien navicalement,